Du 13 mars au 16 mars 2014
Nous quittons Mons-en-Pévèle vers 9h ; Claude est arrivé la veille.
Assez vite, le brouillard cède la place au soleil ; nous bivouaquons sur l’aire du Cheix-sur-Morge. La vie à 3 s’organise à bord.
Après une nuit froide, à l’intérieur comme à l’extérieur, la route se poursuit tranquillement ; nous arrivons vers 16h à Marseillan où nous retrouvons Françoise et Jean-Paul chez eux ; dîner et soirée très sympa.
Le lendemain matin, nous quittons nos amis pour nous rendre à Salses-le-Château où nous attend Maëva ; les garçons étaient impatients.
Déjeuner en famille et après-midi très agréable. Le soir, nous nous rendons chez Véro, dînons avec elle et ses amis ; là aussi, la soirée fut très joyeuse. Nous bivouaquons sur son parking.
Le vent nous a secoués toute la nuit ; le matin, ça souffle encore beaucoup mais il y a du soleil.
Nous passons la frontière espagnole dans la matinée et nous prenons la direction de Valence, au camping où nous retrouvons Rose-Marie et Jean-Pierre ; nous dînons ensemble et passons une soirée très agréable.
Du 17 au 19 mars 2014
Nous nous posons 2 jours, le temps de découvrir la ville ; nous avons la chance que Valence soit en fête, les « Fallas » : pendant 2 semaines, ce sont des défilés en costumes traditionnels ;
chaque quartier fabrique sa « falla », scènes de vie sarcastiques, en carton ;
les pétards éclatent de tous côtés ; le soir, nous admirons quelques illuminations dans la mesure où la foule n’est pas trop dense ;
le jour de la fête des Pères, qui est aussi le jour de La Saint-Joseph, toutes les fallas sont brûlées ; auparavant, la plus belle « falla » est mise à l’honneur. C’est magnifique ! Le lendemain, derniéres visites en ville.
Nous reprenons la route le matin du 19 ; c’est un jour férié, Fête des Pères oblige, tout est fermé. Nous arrivons au port d’Almeria en fin d’après-midi ; bivouac sur place.
Jeudi 20 mars 2014
Nous faisons quelques achats au duty free sur le port même. L’embarquement se fait dans les temps, le départ à l’heure, la mer est calme.
Les formalités policières se font juste avant de débarquer, ce qui crée une belle pagaille.
Nous voici à Nador, nous reculons les horloges d’une heure. Les formalités douanières pour le véhicule durent car, sur le bateau, elles n’avaient pas été faites correctement !